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French to English: Remède contre le cancer / Remedy for Cancer
Source text - French LE MIRACLE DU MIEL ET DE L'ALOÈS
Comment le Père Romano Zago a guéri plusieurs cancers
"Une livre de pur miel d'abeilles, deux grandes feuilles ou trois petites feuilles d'aloe vera ou d'aloe arborescens, bien nettoyées et débarrassées de leurs épines, pesant en tout une autre livre, trois ou quatre cuillerées à soupe de whisky, d'arak ou d'eau de vie de fruit, le tout passé au mixeur, et vous obtiendrez ce sirop naturel grâce auquel le Père Romain, franciscain de Bethléem, a guéri plus d'un cancer.
Brésilien de souche italienne, le Père Romain Zago est né en 1932 à Lajeado, dans le diocèse de Porto Alegre. Entré au service de la Custodie de Terre Sainte, il réside à Bethléem où il enseigne le latin et la philosophie aux futurs étudiants en théologie, qui poursuivront leurs études au couvent Saint-Sauveur à Jérusalem. Si d’aventure vous souhaitiez le rencontrer, ne vous attendez pas à un gabarit exceptionnel ni à une espèce de sorcier au regard perçant et luciférien, à la barbe hirsute et broussailleuse. Nul alambic dans sa cellule, point de formule incantatoire. Quant au laboratoire, ah ! parlons-en, le pauvre Père ne dispose même pas d’un mixeur. En cas de besoin, il aura tout simplement recours à celui de la sœur cuisinière. C’est donc à un homme simple et affable que vous aurez à faire et qui vous inspirera confiance.
Ni médecin, ni sorcier, ni faiseur de miracles
S'il n'est ni médecin, ni sorcier, ni faiseur de miracles, d'où vient donc au bon Père ce mystérieux pouvoir ? Tout simplement d’avoir pu fréquenter dans sa jeunesse l'école des pauvres. ”Au Brésil, nous confie-t-il, ”nombreux sont ceux qui ne peuvent se procurer les produits sophistiqués et coûteux de la médecine moderne ; aussi s'adressent-ils directement au bon Dieu, qui a créé les plantes et, en particulier, l'aloès qui fleurit partout et que j'ai appris, tout jeune, à reconnaître au bord des chemins.”
Toi aussi tu peux le faire
Ne lui demandez pas s'il est capable de guérir le cancer, il répondra: “Mais, toi aussi tu le peux. N'importe qui peut le faire. La force mystérieuse se trouve en Mère Nature et donc à la portée de tous. L'important est de bien mélanger ces trois ingrédients : miel, whisky et aloès, et de ne pas oublier de bien agiter le flacon avant chaque usage. Quant à la dose recommandée, elle est de trois cuillerées à soupe par jour, à prendre à jeun un quart d'heure avant les repas, une tôt le matin, une à midi et une le soir, de manière à avoir l’estomac bien vide et à permettre aux pepsines d'entrer aussitôt en action et de se répandre jusqu'aux extrémités du corps. La cure dure habituellement dix jours.”
Patience et persévérance
Bien sûr, il ne faut pas s'attendre à une guérison immédiate. Le Père Romain a d'ailleurs bien soin de nous mettre en garde contre toute illusion de type miraculeux. Si la première cure n'obtient pas le résultat souhaité, le patient devra se soumettre à une nouvelle série d'examens qui diront si l'on peut procéder à une seconde ou à une troisième cure jusqu'à entière guérison. Bien des malades se sentent rapidement mieux, mais c'est au médecin qu'il appartient de constater l'amélioration survenue. Ici patience et persévérance sont de rigueur. L'efficacité du remède est certaine et souveraine sur toute espèce de cancer, tant interne qu'externe : cancer de la peau, de la gorge, du sein, de l'utérus, de la prostate, du foie, etc. Le Père Romain parle même de la guérison de plusieurs leucémiques.
Tout cela paraît trop beau pour être vrai. C'est pourtant bien ainsi. “L'explication est simple”, souligne le Père Romain, nullement découragé par les signes d'incrédulité qu'il lit sur votre visage. “Le remède opère un nettoyage complet de l'organisme grâce au miel qui atteint les zones les plus lointaines de notre corps. L'aloès, à son tour, véhiculé par le miel, constitue un agent important de cicatrisation. Quant à l'alcool, en dilatant les vaisseaux sanguins, il facilite cette opération de nettoyage général. En l'espace de dix jours, le sang s'est lentement purifié. On peut même ajouter que le remède agit de façon préventive. En effet, grâce au sang purifié, tout l'organisme fonctionne à merveille.”
Un miracle à votre portée
Le premier cas de guérison d'un cancer remonte à six ans. Un septuagénaire souffrant d'un cancer de la prostate en phase ultime est congédié de l'hôpital, les médecins ayant déclaré qu'il n'y avait plus rien à faire. On appelle le Père Romain pour administrer les derniers sacrements au mourant. La cérémonie se déroule normalement : après quoi le Père propose au patient son étonnant remède. Six ans plus tard le vieillard, devenu octogénaire, a toujours bon pied bon oeil.
Une sœur franciscaine missionnaire du Cœur Immaculé de Marie résidant à Bethléem eut assez tôt connaissance du médicament du Père Romain. Elle en remplit un flacon qu'elle déposa dans une armoire. A quelque temps de là, Soeur Silvana, infirmière de la Communauté, apprend qu'une de ses amies est atteinte d'un cancer. Elle se souvient alors du remède enfoui dans son placard. Quelques mois plus tard, l'amie en question est bel et bien guérie. Aujourd'hui, rayonnante de santé, elle vous racontera volontiers elle-même sa surprenante histoire.
Le Père Raphaël témoigne
Un des secrétaires de l'Ecole de Terre Sainte de Bethléem souffrait d'un cancer de la gorge et n'avait plus qu'un filet de voix. Inquiet, le Père Raphaël, directeur de l'Ecole, alerte le Père Romain qui se rend chez leur commun ami, armé d'une bonne dose de son fameux sirop. Deux mois plus tard, le secrétaire avait retrouvé sa voix habituelle et repris son travail. Le Père Raphaël est prêt à en témoigner, et Dieu sait pourtant si les Frères ont le cœur dur et lent à croire!
C'est d'un air serein et parfaitement détaché que le Père Romain nous raconte tout ceci, mais lorsqu'il se met à vous parler du petit Gérard, il est visiblement ému. Petit Argentin âgé de cinq ans, Gérard souffre de leucémie. Après de vaines tentatives de guérison, les médecins de son pays n'entrevoient plus qu'une possibilité : une greffe de moelle osseuse. L'opération a lieu à Barcelone, en Espagne. Après une brève amélioration, le mal réapparaît, au grand désespoir des médecins et à la consternation des parents. Pleins de confiance malgré tout, ceux-ci entreprennent un pèlerinage en Terre Sainte. Les voici en prière à la grotte de la Nativité juste au moment où se déroule la procession quotidienne des Franciscains. Le Père Romain, témoin de leur affliction, s'approche d'eux et reçoit leur confidence angoissée. Il ne leur promet rien, mais les engage tout de même à faire l'essai de son remède.
L'enfant repart guéri
Durant le premier mois, une cure est réalisée à la perfection. Le mois suivant, le petit Gérard assiste à la procession en compagnie de ses parents et de son frère dont il a reçu la moelle. A la suite des frères et au chant des hymnes, tous se rendent à la Grotte de la Nativité. La santé du petit est en nette amélioration. Le Père Romain propose une nouvelle cure d'un mois, mais bien avant la fin du mois, Gérard et les siens repartiront pour l'Argentine. L'enfant est guéri. Et comme on comprend l'émotion du Père Romain lorsqu'il évoque ce souvenir !
Tout ce que nous confie le Père Romain est empreint de simplicité. Non seulement il accepte, mais il se réjouit de voir ses propos imprimés dans notre revue. Non par amour-propre, car nous l'avons dit, il ne se prend ni pour un guérisseur, ni rien de semblable. Pas question non plus de lui faire le moindre cadeau. Ce qu'il souhaite, c'est que soient mis en valeur les remèdes fournis par la pharmacie du Bon Dieu : miel, alcool et aloès. Et surtout, c'est que beaucoup sachent que l'on peut guérir du cancer.
Souvenez-vous-en : ne criez pas au miracle. Et s'il y a miracle, sachez que vous pouvez l'accomplir vous aussi. “C'est tout simple”, nous lancera une dernière fois le Père Romain, tandis qu'il s'engouffre dans sa fourgonnette pour aller faire sa provision hebdomadaire de fruits et de légumes au marché arabe, près de la tombe de Rachel.
Journal de Terre Sainte
Père Vittorio Bosello
Adaptation française du Père Daniel Bertrand
Translation - English THE MIRACLE OF HONEY AND ALOES
How Father Romano Zago has cured several cancers
“Take one pound of pure bee honey, two large leaves or three small ones of aloe vera or aloe arborescens, well cleaned, with their spines removed, weighing in all another pound, three or four spoonfuls of whisky, or arak or brandy. Blend all the ingredients in the mixer to obtain this cream thanks to which Father Romano has cured more than one case of cancer.”
A Brazilian of Italian origin, Fr Romano Zago was born in 1932 in Lajeado, in the diocese of Porto Alegre. He entered the service of the Custody of the Holy Land, and now resides in Bethlehem where he teaches Latin and Philosophy to future students of theology, who will continue their studies at the Convent of the Holy Saviour in Jerusalem. If you should happen to wish to meet him, do not expect an exceptionally important-looking man, nor a kind of sorcerer with piercing Luciferan eyes, and a bushy bristling beard. There are no stills in his laboratory, no magical formulas, and while we’re on the subject of his laboratory, the poor Father does not even have a mixer. When he needs one, he simply uses the sister’s in the kitchen. You will be talking to a simple, friendly man, who inspires confidence.
Neither doctor, nor sorcerer, nor miracle-worker
If he is neither doctor, nor sorcerer, nor miracle-worker, where does the good Father get this mysterious power to cure cancer? Simply from having frequented the school of the poor in his youth. “In Brazil,” he explained to us, “many people cannot afford the sophisticated, costly products of modern medicine, so they turn directly to God, who created plants, and in particular, to the Aloe which flowers everywhere and which I learnt to recognise growing along the side of the road.”
You can do it too.
Don’t ask him if he is capable of curing cancer. He will reply “But so can you, if you want to. Anyone can do it. The mysterious force comes from Mother Nature so it is available to everyone. The important thing is to mix these three ingredients well : honey, whisky and Aloes, and to remember to shake the bottle well every time you take the contents. The recommended dose is three dessert spoonfuls per day, to be taken a quarter of an hour before meals, one early in the morning, one at midday, and one in the evening, so as to have your stomach well lined and also to enable the pepsins to act immediately, and to spread to the farthest parts of the body. The treatment usually lasts ten days.”
Patience and perseverance
Of course, one should not expect an immediate cure. Fr Romano was also careful to warn us against having any illusions of a miraculous kind. If the first treatment does not obtain the result hoped for, the patient will have to undergo a new series of tests which will show whether one can proceed to a second or third treatment, until a complete cure has been achieved.
Many patients soon feel better, but this does not mean that they are cured. It is up to the doctor to say whether their condition has improved. Here patience and perseverance are necessary. The efficacy of the remedy is certain and sovereign over all kinds of cancer, whether they be internal or external, cancer of the skin, throat, breast, uterus, prostate, liver, etc. Fr Romano even speaks of the cure of several cases of leukaemia. All this seems too good to be true. It is however so.
“The explanation is simple”, Fr Romano insists, in no way discouraged by the incredulous expression he sees on your face. “The remedy achieves complete cleansing, thanks to the honey which reaches the most distant extremities of the body. The aloe, in turn, carried along by the honey, constitutes an important agent in the healing process. As for the alcohol, by dilating the blood vessels it facilitates the effectiveness of general cleansing. In the space of ten days, the blood is slowly purified. One can even add that the remedy acts in a preventive way. Indeed, thanks to the purified blood system, the whole organism functions wonderfully, just like a car running on petrol.
A miracle at your reach
The first case of cancer dates back six years. A man in his seventies suffering from terminal cancer of the prostate was sent home from hospital, the doctors having declared there was nothing more they could do for him. Fr Romano was called to administer the last rites. The ceremony was held normally, after which Fr Romano proposed his astonishing remedy to the patient. Six years later the same man, now in his eighties, is still sound in mind and limb.
A Franciscan sister who is a missionary of the Immaculate Heart of Mary residing in Bethlehem, heard about Fr Romano’s medicine quite early on. She made up a flask which she put away in a cupboard. Shortly afterwards, Sister Silvana, a nurse in the community, learned that one of her friends had cancer. She remembered the remedy now stashed away at the back of a drawer. Some months later, the friend in question was well and truly cured. Today, the picture of health, she will be delighted to tell you herself her surprising story.
One of the secretaries of the School of the Holy land of Bethlehem was suffering from throat cancer and could hardly speak. Worried about her, Fr Raphael, the school director, alerted Fr Romano who went to see their friend, armed with a good dose of his splendid mixture. Two months later, the secretary had recovered her usual voice and gone back to work. Fr Raphael is willing to testify, yet God well knows how slow the brothers are to believe this kind of thing !
Father Romano witnesses
It was with a serene, perfectly detached air that Fr Romano related all this, but when he started telling us about little Gerard, he was visibly moved. A little Argentinean of five years old, Gerard had leukaemia. After vain attempts to cure him, the doctors of his country saw only one possibility left: a bone marrow graft. The operation took place in Barcelona in Spain. After a brief improvement, the disease reappeared, to the doctors’ great despair and the parents’ consternation. Full of confidence in spite of everything, the parents set out on a procession to the Holy Land. They were praying at the Grotto of the Nativity at the same time as the daily procession of the Franciscans took place. Fr Romano, seeing their distress, approached them and listened to their anguished story. Without promising anything, he persuaded them to try his remedy.
The child goes away cured
During the first month the treatment was carried out to perfection. The next month, little Gerard attended the Procession together with his parents and his brother, from whom he had received the bone marrow graft. Following the Brothers and singing hymns, they all went to the Grotto of the Nativity. The health of the little boy had greatly improved. Fr Romano proposed another treatment of a month but well before the end of the month, Gerard and his family left for Argentina. The child was cured. One can understand Fr Romano’s emotion when he recalls this story !
Everything Fr Romano told us was marked with simplicity. He not only accepted, but was delighted to see his words put into print in our magazine. This was not out of vanity, for as we have said, he does not consider himself to be a healer or anything like that. It was out of the question for him to receive the slightest reward. All he wished was that the medicine provided by God’s own pharmacy should be put to use : honey, alcohol and aloes. And above all, that many people should know that you can be cured of cancer.
Remember, do not expect a miracle. And if there is a miracle, understand that you too can accomplish one yourself. “It’s quite simple”, he called as he climbed into his van on his way to do his weekly shopping from fruit and vegetables at the Arab market near Rachel’s tomb.
The Holy Land Magazine
Father Vittorio Bosello
French to English: Marie Messagère de l'Amour lors d'un Cénacle à Lisieux Association Ouvre Ton Coeur
Source text - French
5ème mystère lumineux :
L’institution de l’Eucharistie – par ce mystère, demandons l’amour de l’eucharistie
Mes enfants, mes tout petits, j’ai tellement de choses encore à vous dire, mais avant tout je veux vous parler de ce qu’il y a de plus important, de mon Fils Jésus.
Approchez-vous mes enfants, approchez-vous, le plus souvent que vous pourrez à la Sainte Table. Il vous faut mes enfants, dans ce monde où vous vivez, il vous faut souvent la présence de mon Fils Jésus, en vous. Communiez le matin afin que Jésus puisse vous donner la force durant cette journée de combattre le mal. C’est une nourriture pour votre âme; vous ne pouvez pas continuer à négliger votre âme, elle a besoin de cette nourriture, elle a besoin de se ressourcer dans le silence, dans la prière et l’adoration.
Vous ne vous arrêtez pas assez souvent mes enfants devant le Saint-Sacrement. Mon Fils Jésus est souvent seul ; personne ne vient le visiter et pourtant il est là, et il attend. Qu’attendez-vous mes enfants, qu’attendez-vous ? Demain il sera trop tard, c’est aujourd’hui que vous devez commencer. Convertissez-vous mes enfants, revenez, revenez à la prière, revenez à la présence de l’adoration. Votre vie mes enfants doit être une vie d’adoration. Dans le monde où vous vivez, on a tout fait pour que la messe soit remplacée par le sport, n’est ce pas mes enfants ? Et vous les parents, vous en êtes responsables ; lorsque vos enfants vont au foot le matin, je parle du dimanche, ou lorsqu’ils vont à la piscine, on a tout fait pour remplacer la Sainte Messe.
C’est à vous maintenant mes enfants de m’aider, c’est à vous de faire comprendre que rien ne peut remplacer l’eucharistie, oh non, rien ! Vous savez mes enfants, quand j’ai perdu mon Fils Jésus, quand je l’ai cherché des jours et des jours, ils me paraissaient si longs ! Je cherchais Jésus ; je ne me voyais pas vivre sans lui, mon cœur était si angoissé, il y avait un vide et je veux que vous ressentiez la même chose mes enfants. Hâtez-vous de chercher mon Fils Jésus, ne vous lassez jamais, continuez, cherchez-le comme moi et un jour vous le trouverez car je vous le présenterai, mais pour cela mes enfants, il vous faut faire beaucoup, beaucoup de sacrifices en ce monde. Offrez vos sacrifices, offrez vos souffrances à mon Cœur Immaculé, car quand un enfant m’offre ses souffrances, quand un enfant qui pleure et me dit maman je t’offre mes larmes c’est une couronne de roses qu’il m’offre et moi cette couronne je l’offre au cœur de mon Fils Jésus et croyez-moi, mes enfants, les grâces surabondent.
Je voudrais vous remercier de vous êtes arrêtés un instant pour m’écouter. J’aurais pourtant voulu tant vous dire bien des choses, mais je veux remercier tous ceux qui ont permis que cette retraite se passe comme elle se passe à présent ; je voudrais remercier tous ceux qui travaillent pour l’organisation et je remercie tout particulièrement chacun d’entre vous mes enfants d’avoir répondu à mon appel. Merci d’être ici et ne m’oubliez pas mes enfants. J’ai besoin de votre amour, j’ai besoin de vos prières, offrez-moi mes enfants, offrez-moi, des messes à mon Cœur Immaculé, car par ces sacrifices qui me sont offerts, je pourrai convertir le monde entier et enfin mon Cœur Immaculé triomphera dans chacun des cœurs.
Merci mes enfants, et s’il vous est possible, pouvez-vous me faire la grâce de pouvoir chanter le cantique entièrement, ce cantique que j’aime tant : « chez nous soyez reine », et moi je vous le dis, c’est dans votre cœur que je règne aujourd’hui et à jamais mes enfants.
Je vous bénis, je vous bénis de ma bénédiction toute spéciale et maternelle et avec mon Fils Jésus, ici présent, et la petite Thérèse, qui bien sûr est ici présente, car elle est ici aussi chez elle. Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et prier l’Esprit-Saint pour qu’il continue à œuvrer comme il le fait si bien en chacun de vos cœurs et merci pour cette grâce que vous me faites mes enfants, de bien vouloir répondre à mon appel.
Je vous aime.
Votre maman du ciel.
Translation - English 5th Luminous Mystery:
The institution of the Eucharist – by this mystery, let us ask for love for the Eucharist.
My children, my little ones, I have so many things still to say to you, but first of all I want to talk to you about what is the most important, about my Son Jesus.
Go up, my children, go up as often as you can to the Holy Table. You must, my children, in the world you are living in, you must often have the presence of my Son Jesus, in you. Go to communion in the morning so that Jesus can give you strength during the day to fight evil. It is food for your soul; you cannot go on neglecting your soul, it needs this food. It needs to resource itself in silence, in prayer and adoration.
You don’t remain often enough, my children, in front of the Blessed Sacrament. My Son Jesus is often alone; no one comes to visit Him and yet He is there, and He is waiting. What are you waiting for, my children, what are you waiting for? Tomorrow will be too late. You must begin today. Be converted, my children, come back, come back to prayer, come back to the presence of adoration. Your life, my children, must be a life of adoration. In the world you are living in, everything has been done so that Mass is replaced by sports, isn’t that so, my children? And you, parents, you are responsible for that; when your children go to play football in the morning, I’m talking about Sunday morning, or when they go to the swimming pool, everything has contrived to replace the Holy Mass.
It is up to you now, my children, to help me, it is up to you to make people understand that nothing can replace the Eucharist, oh no, nothing! You know, my children, when I lost my Son Jesus, when I looked for him for days and days, they seemed so long to me! I was searching for Jesus; I could not see myself living without him, my heart was in such anguish, there was emptiness. I want you to feel the same thing, my children. Hurry up and search for my Son Jesus, never tire of it, carry on, search for him like I did and one day you will find Him, for I will present Him to you, but for that, my children, you will have to offer up many, many sacrifices in this world. Offer up your sacrifices, offer up your sufferings to my Immaculate Heart, for when a child offers me his sufferings, when a child who is crying says to me “Mummy, I offer you my tears”, it is a crown of roses that he is offering me and I offer this crown to the Heart of my Son Jesus, and believe me, my children, there will be an overabundance of blessings.
I would like to thank you for stopping by for a moment to listen to me. I would so much have liked to tell you lots of things though, but I want to thank all those who have organised this retreat so that it would happen like it is doing right now; I would like to thank all those who work organising it and I thank especially each one of you, my children, for answering my call. Thank you for being here and don’t forget me, my children. I need your love, I need your prayers, offer me, my children, offer me Masses to my Immaculate Heart, for by these sacrifices which are offered to me, I will be able to convert the whole world and at last my Immaculate Heart will triumph in every heart.
Thank you, my children, and if it is possible for you, can you do me the favour of singing the hymn completely, the hymn I love so much: « be our Queen in our homes », and I tell you, it is in your heart that I reign today and forever, my children.
I bless you, I bless you with my special motherly blessing and with my Son Jesus, present here, and little Teresa, who is present here of course, for this is also her home here. I bless you in the Name of the Father, of the Son and of the Holy Spirit, and pray the Holy Spirit to go on working as He does so well in every one of your hearts, and thank you for the favour you are granting me, my children, by answering willingly to my call.
I love you.
Your heavenly Mother.
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Translation education
Bachelor's degree - Manchester University, United Kingdom
Experience
Years of experience: 31. Registered at ProZ.com: Apr 2008.
EN FRANCAIS
Devinez où je suis née ? Premier indice : le nom du pays commence par un Z. Mon habitude incorrigible de sabrer le tableau noir avec un grand Z interrogateur, lors des présentations en début d’année entre professeur et élèves, m’a valu une réputation parmi mes étudiants, qui m’ont baptisée Zorro, et je me plais à penser que mon intervention intrépide a secouru mes employeurs au cours de ma carrière variée, en tant que professeur, mannequin, actrice, secrétaire, traductrice, interprète ou guide. Cet attrait pour la lettre Z est peut-être la raison pourquoi ProZ.com a attiré mon attention et la vôtre!
Indice suivant : le continent commence par un A et son contour est reconnaissable entre tous. Oui, c'est mon Afrique bien-aimé, au sein duquel le pays en forme de cœur qui était encore une colonie britannique en 1954, l'année de ma naissance, est ensuite devenu la Zambie en 1964. Mes parents anglophones étaient originaires du Cheshire et de Liverpool en Angleterre. Administrateur de l’Education pour la Couronne, mon père a appris à parler trois dialectes africains couramment, ce qui m'a éveillée très jeune au dilemme linguistique et aux astuces de la communication. Il m'a appris la salutation en Luvale, la dialecte des gens du fleuve Zambèze, en faisant une révérence et en frappant dans les mains avec un joyeux «Indu Kenu mwane!" Même aujourd'hui, lorsque l'on nous offre une deuxième portion de dessert, au lieu de dire «non merci, j'ai bien mangé», nous disons «kunahu». Tout argument est terminée en levant l'index et en disant ce même mot pacifique mais pleine d'autorité, «kunahu», qui exprime la satisfaction, voire la saturation : «c'est assez» ou «cela suffit».
Cette enfance ensoleillée m'a conféré le goût des grands espaces et je suis toujours passionnée d'ornithologie et soucieuse de protéger la nature. En 1965, deux ans après l'indépendance de la Zambie, ma famille a quitté le soleil pour les brumes de l’Angleterre. Dix ans plus tard, ayant obtenu une licence de lettres françaises à l'Université de Manchester, j'ai quitté l'île émeraude pour vivre près de Paris dans la plus grande forêt en France où la topographie, un océan d'arbres qui se déroule à perte de vue, évoque mon idylle sacrée en Afrique, mais j’ai encore la nostalgie de Mosi wa Tunya, l'Eau qui Tonne (les Chutes de Victoria).
Une fois en France, mes débuts de mannequin à Paris m'ont donné la liberté de cultiver des activités indépendantes, et j’ai traduit des catalogues de mode ou fait de l'interprétariat lors des salons du Prêt à Porter. Le secrétariat au sein des maisons de couture m'a amené à me spécialiser dans le juridique, en assistant des associés spécialisés dans le maritime, l’aéronautique ou le droit du travail, en préparant des dossiers de plaidoirie et en traduisant les pièces jointes aux conclusions. J'ai également aidé des particuliers lors d’achats de biens immobiliers en France en traduisant des actes de vente, des correspondances et des appels téléphoniques avec les notaires.
Depuis ma première traduction technique en 1979 pour un ingénieur à l'Université de Technologie de Compiègne, je suis intervenue auprès d’usines et au sein de diverses entreprises en Picardie. Professeur d'anglais pendant trois ans en collège ou en lycée pour l'Education Nationale, j'ai également assisté des professionnels de l'industrie automobile, aéronautique, logistique ou chimique organique, des cadres, ingénieurs, chimistes, opticiens, mécaniciens et techniciens sur le terrain. Mon dernier poste au sein d'Enercon GmbH, leader dans l'installation des éoliennes en France m'a familiarisée avec le domaine des énergies renouvelables.
Voyageuse depuis toute petite, pour moi des missions dans le tourisme et la restauration sont une aventure irrésistible, alors n'hésitez pas à me proposer de traduire votre brochure de voyage, dépliant d'hôtel et de séminaire résidentiel, site Internet ou vos menus et cartes gastronomiques et votre livre de recettes de cuisine.
Expérimentée dans de nombreux secteurs et impatiente d'explorer d'autres domaines, je suis obstinément les traces du "Docteur Livingstone, je présume", en remontant les rivières jusqu’à la source pour découvrir des horizons toujours plus aventureux. J'espère que vous ferez confiance à votre guide qui débroussaille à grands coups de Z pour vous rendre le chemin libre!
Kunahu!
Indu kenu mwane!
IN ENGLISH
Guess where I was born? First clue: the name of the country begins with a Z. My incorrigible habit of slashing the blackboard with a big quizzical Z earned me a reputation among my English students who baptised me Zorro, and I like to think my intrepid interventions solved my employers' problems during my varied career, as teacher, model, secretary, translator, interpreter or guide. This attraction for the letter Z was perhaps the reason ProZ.com caught my eye and yours!
Next clue: the continent begins with an A and its outline is unmistakable. Yes, it's my beloved Africa, within which the heart-shaped country still a British colony in 1954 when I was born later became Zambia in 1964 when I was ten. My English speaking parents were born and bred in Cheshire and Merseyside, in England. An educational administrator for the Crown, my father learnt to speak three African dialects fluently, which aroused my interest in languages at an early age. He taught me to greet the Zambezi river people in the Luvale dialect, curtseying and clapping with a cheery "Indu kenu mwane!" Even today, when offered second helpings of dessert, instead of saying "no thanks, I'm full", we say "kunahu". To end an argument we raise an index and utter the same peaceable word, "kunahu", which can express either satisfaction or firm refusal: "enough is enough".
I grew up mostly outdoors in the sunshine and still enjoy birdwatching and wide open spaces and anything to do with protecting nature. In 1965, two years after Zambia's independence, my family left the sun for misty England, where I studied until 1974. With a B. A. Honours Degree in French at Manchester University, I then left the emerald isle to settle near Paris in the largest forest in France, where the topography, an ocean of trees rolling as far as the eye can see, evokes my sacred African idyll, though I am still nostalgic for Mosi wa Tunya, the Water that Thunders (the Victoria Falls).
Once in France, a long début modelling in Paris gave me the freedom to cultivate freelance activites, such as translating fashion catalogues or interpreting during Pret à Porter salons (tradefairs). Secretarial skills in the fashion sphere led me to specialise as a Legal Assistant in Business Law Chambers, assisting Partners in Maritime, Aeronautical or Labour Law, often preparing dossiers for barristers pleading in court, translating documents attached to conclusions as evidence to be produced during hearings. I have also assisted people purchasing real estate in France by translating deeds and sales agreements or correspondance from notaries and interpreting on the phone to resolve difficulties.
Since my first technical translation in 1979 for an engineer at the renowned Université de Technologie in Compiègne (north of Paris), I have translated for factories and firms in the surrounding region, Picardy. An English teacher for three years in French National Educational secondary schools, I have also assisted professionals (executives, engineers, chemists, opticians, mechanics, technicians) on site in the automobile, aeronautical, transport and organic-chemical industry. My last in-house job for Enercon GmbH, leader in the installation of windturbines in France familiarised me with the renewable energy field.
A globetrotter since my childhood, for me missions in tourism and catering are an irresistible adventure, so do not hesitate to ask me to translate your travel brochure, hotel residential seminar leaflet and website or your gastronomic menus and your cookery book.
Confident in many sectors, I look forward to exploring other fields, following doggedly in the footsteps of "Dr. Livingstone I presume", tracking rivers to the source to reveal ever more adventurous horizons. I hope you will trust in your guide as I hack Zeds through the undergrowth to make the path easy for you!
Kunahu!
Keywords: Interprétariat consécutif vers l'anglais ou le français. Traductions techniques dans les secteurs: juridique, restauration et tourisme, immobilier, mode, art, littérature, livres d'enfants, industrie aéronautique et automobile. Contrat, acte de vente, scénario. See more.Interprétariat consécutif vers l'anglais ou le français. Traductions techniques dans les secteurs: juridique, restauration et tourisme, immobilier, mode, art, littérature, livres d'enfants, industrie aéronautique et automobile. Contrat, acte de vente, scénario, mémoire, correspondance et curriculum vitae, demande de visa et démarche consulaire.. See less.